Nos actions à l'origine de notre destin

Nos actions à l’origine de notre destin ?

Nos actions à l’origine de notre destin ? Ou est-ce le hasard qui conduit nos actions ? Question à double tranchant. Le hasard n’existant pas, dit-on, j’ai appris à faire confiance aux enseignements de la vie, même aux plus petits, très infimes, tout riquiqui. Faire confiance aux enseignements, même si on ne les comprends pas toujours, est un exercice parfois laborieux.

Nos actions à l’origine de notre destin ? Belle question !

Nos actions seraient-elles à l’origine de notre destin ? J’y croie, la preuve de ce que j’avance : vous savez tous, enfin pour ceux qui me suivent, que je vais bientôt vous offrir un nouvel espace sur mon blog. Blog qui va changer d’habit, vous ne serez pas perdu en mer, le capitaine du navire a prévu de vous rediriger sur la plage de vos rêves. Ce nouvel espace traitera de ce que je sais faire le mieux : parler de résilience. La résilience peut revêtir différents aspects. Nous verrons cela dans d’autres articles à venir. Mais pour l’instant…

Je repose la question : Nos actions sont-elles à l’origine de notre destin ?

Nos actions seraient-elles à l’origine de notre destin ? Oui, j’y crois. Au gré de mes errances dans les rayons philo et développement personnel de ma médiathèque de quartier, un ouvrage a attiré mon attention. Je l’ai saisi, je l’ai ouvert et ai eu envie de le remettre dans son rayon à cause de ses petits caractères d’impression. Mais une intuition m’a poussée à voir plus loin. Bon oui, d’accord, la paresse me conduit parfois à la facilité d’écriture. Qui m’en voudrait ?

La question serait-elle mal comprise ?

nos-actions-origine-actionsBref, nos actions à l’origine de notre destin ? Peut-être bien que oui. Revenons-en à cet ouvrage qui a attiré mon attention. Une pulsion indépendante de ma volonté m’a conduite vers mon destin. Bizarre quand même la façon que le destin opère pour vous conduire au bon endroit au bon moment.

D’accord, je lâche prise et me laisse conduire. En recherche d’inspiration devant le rayon philosophie et développement personnel, poussée à faire vite à cause de la chaleur de l’été, ma main saisie un ouvrage s’intitulant « Comment la philosophie a le pouvoir de rendre la vie meilleure ».

Nos actions à l’origine de notre destin ? Ou voir l’inverse ?

Bingo ! Je crois que le destin m’a aidé. A moins que je n’ai simplement fait confiance en mon intuition sur mes besoins du moment. Peu importe, l’essentiel est que j’étais là au bon moment et au bon endroit. Oh pardon, j’allais oublier de vous mentionner le sujet de l’ouvrage en question, découvert par hasard.

Par hasard ? Nos actions à l’origine de notre destin ?

Qui a parlé de hasard ? Le destin fait bien les choses, pourvu que vous soyez réceptif à ce que la vie vous offre en opportunités à cueillir. Pas besoin de grands évènements, de grandes fêtes… Les petits rien de tous les jours suffisent pour changer votre vie et lui donner le sel indispensable à sa survie.

Bon cette fois, je vous dévoile enfin mon coup de cœur. Nos actions seraient-elles à l’origine de notre destin ? Ou l’inverse ? A chacun d’y répondre à sa façon. « La philo, c’est la vie » ou Comment la philosophie a le pouvoir de rendre la vie meilleure », de Jules Evans : petit ouvrage qui change ma vision de la vie, ou plutôt, vision qui me conforte dans ce que j’ai pu assimiler au fil des ans. Vous adhérez ou pas, peu importe. Ce que j’ai à vous révéler : toutes les thérapies existantes pour vous faire vous sentir mieux ont leurs origines chez les maitres de philosophie du début de notre ère. Un scoop ? Pas du tout. Mais personne n’osera vous dire que s’intéresser à la philosophie pourrait vous aider à aller mieux, quel que soit vos difficultés. A vous d’avoir votre opinion sur le sujet.

  • Sylviane dit :

    Bonjour Hélène

    Grand débat que celui d’aujourd’hui le destin est-il déterminé par nos actions ou le contraire ? Personnellement je crois fort dans la maxime « aide-toi le ciel t’aidera » nous forgeons notre futur, notre bonheur, ou pas, selon le regard que nous jetons sur ce qui nous arrive dans la vie donc en fonction des pensées qui nous passeront par la tête nous verrons la bouteille de vin moitié pleine ou moitié vide et c’est ce qui fera, quant à moi, notre destin car en restant benoîtement à regarder le train passer on pourra dire à la fin de notre vie ah je n’ai pas eu de chance, la vie n’a pas été drôle pour moi etc etc… donc ce sont nos pensées qui détermineront nos actions qui déterminera notre destin (je ne sais pas si je me suis bien exprimée j’aurais peut-être dû attendre d’avoir pris mon café matinal il est 6 h et Lisbonne s’éveille !!!)

    • Hélène Hug dit :

      Bonjour Sylviane,

      Bien matinale aujourd’hui! Même sans café, tu as les idées claires, quelle tirade toute de vérité.

      Voir le verre à moitié plein plutôt que le verre à moitié vide amène beaucoup plus de satisfactions dans nos vie. Et comme Socrate disait : « Ne passe pas une journée sans t’interroger sur le Bien ». Trop de personnes vivent comme des somnambules sans jamais se poser de questions sur la vie qu’elles mènent.

      Bon, il est temps que j’aille me faire un petit café pour réveiller mes neurones.

  • Danièle dit :

    Bonjour Hélène,

    Pas facile de trancher (dans le vif du sujet) car qui peut vraiment y répondre…

    Ce ne sera pas moi car tu as très bien traité le sujet.

    Comme le dit Sylviane,commençons par voir ça avec nos pensées.

    Belle et douce journée

    Danièle

    • Hélène Hug dit :

      Bonjour Danièle,

      Oui, répondre à cette question philosophique est difficile.

      Nos pensées dirigent notre vie, restons donc vigilants sur le comment nous agissons et pensons.

      Chaussons nos lunettes de sagesse pour appréhender la vie avec philosophie et bon sens.

  • Clo dit :

    Bonjour Hélène

    Je sais ce que c’est que de perdre un animal, le 2 août, le matin de mon départ en vacances j’ai perdu mon second chat le premier d’une maladie et mon « caramel » de vieillesse, il avait 16 ans …

    En rentrant il m’a été difficile de ne pas le voir venir au-devant de moi, comme il en avait l’habitude, même quand je rentrai à pied il reconnaissait mon pas et accourait vers moi.

    Tout comme Sirius il aimait lécher les pots de yaourts, dès qu’il m’entendait gratter le pot il savait que ça allait être son tour, je lui en laissais toujours un peu également.

    J’ai toujours craint pour sa vie, car même dans mon petit lotissement les gens roulent trop vite…

    Maintenant il me faut réapprendre à vivre sans le voir apparaître…

    Bonne journée à tous et toutes.

    • Hélène Hug dit :

      Bonjour Clo,

      C’est toujours avec beaucoup de tristesse que nous perdons nos animaux de compagnie. Ils font partie de la famille et eux nous prennent comme on est. Et fidèle avec ça ! Je ne suis guère étonnée que ton chat t’accueillait quand tu rentrais.

      J’avais une minette qui se postait sur le trottoir 10 minutes avant l’arrivée de son maitre en mobylette. Et cette minette venait toujours me consoler quand j’avais des bleus à l’âme.

      Il y a 6 ans, j’ai connu les affres du cœur quand j’ai du me décider à faire abréger les douleurs de mon « Moustique », malade et le véto ne pouvait plus rien faire. J’ai pleuré toute la nuit et c’est lui qui m’a devancé, à 6 h du matin, il a rendu son dernier souffle dans mes bras. Tout les jours, il était la, derrière la porte quand je rentrais le soir.

      Pendant longtemps, il y avait des bruits dans l’appartement comme si il était encore la.

      J’avais discuté avec un collègue médecin et il me disait que c’était comme si on perdait un membre de sa famille et qu’il fallait du temps pour faire son deuil. Pour l’avoir expérimenter, je peux dire que c’est vrai.

      Alors courage à toi Clo. Imagine le raffut que ce doit être au paradis des chats à eux tous ! Ils doivent bien s’amuser.

      Faut pas me brancher CHAT, je pourrais en écrire… écrire…

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