Humour noir

Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre

Humour noir dans ma rue Marre de chez Marre. Marre est le nom d’une rue où j’habite depuis déjà un certain temps, je ne sais plus depuis combien de temps d’ailleurs. Mais cela a-t-il une importance lorsque l’on sait que le temps n’est plus dans l’espace-temps dans ma rue Marre de chez Marre ? Humour Noir s’est invité dans ma rue Marre de chez Marre pour revendiquer sa parenté avec l’espace Incompréhension Humaine.

Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre avec Dame Intemporalité

Celle-ci se situe dans un espace temporel dans lequel je ne suis pas capable de vous en dire les positions en latitude et longitude. Pour moi, ma rue dénommée Marre de chez Marre se situe dans les sphères de l’Incompréhension Humaine. L’Humour habillée de noir est passé par là pour brouiller les pistes. Et pour cause : je viens d’une planète ou la dimension temps n’existe pas.

Pour vous, une journée semble une éternité. Pour moi cette même journée est comme une étincelle de minuscules secondes vous éblouissant un fugace instant. C’est comme l’éclair traversant le ciel pendant quelques infimes instants. La rue Marre de chez Marre est en train de fleurter avec Humour Noir (à mon insu !) et semble embarqué dans un tourbillon cosmique impossible à éviter au vu de la lecture de la carte du ciel en ce moment.

Tempête cosmique hors du commun

Humour Noir a bien méritée cette tempête ! Dans ce tourbillon, ou plutôt dans cette tempête de sentiments divers, la rue de Marre de chez Marre se voit confronté à ses vérités : et maintenant que faire de son existence depuis le déshabillage de sa fonction première, celle de servir un fidèle serviteur contre rémunération ? Ah…Ah… Passe ton chemin Humour Noir, je sais où je vais. Après quelques semaines, que dis-je… Presque trois mois sans pratiquement rien faire, me voici en train de refaire surface. Humour Noir est vert de colère… Il pensait m’anéantir !

Place à la résistance

La rue Marre de chez Marre se voit confrontée à elle-même et commence un bras de fer avec Humour Noir. La rue Marre de chez Marre, déshabillée de son aura de serviteur, confrontée, d’un coup, au bien fondée de son existence sur cette terre, est comme devenue d’un seul coup hostile pour la rue de Marre de chez Marre.

Un gouffre s’est ouvert. Comment l’accepter. Comment y faire face, comment le combler ? Marre de chez Marre était pourtant bien préparée pour endosser ce nouvel habit. Mais c’était sans compter avec cette montagne d’activités assumées durant toutes ses années, ces habitudes de vie au service de l’autre durant… Des siècles… ? Pour tout d’un coup, devoir tout arrêter.

C’est le choc ! Humour Noir se régale…

On ne s’y attend pas, mais alors pas du tout. Même avec une préparation mentale, on se dit que ça va être facile. La fatigue ajoutée aux années aidant, on se dit qu’il est temps d’arrêter. Je me souviens du soulagement que j’ai éprouvé quand j’ai pris ma décision d’arrêter mon activité.

Sage décision m’enlevant un sacré poids, ouf, soulagée. J’avoue : je n’en pouvais plus, usée de toutes ces années d’activité au service de l’autre.  Devant mon état de fatigue à chaque début de vacances, j’ai tranché dans le vif. Et j’ai sonner la cloche vers la voie de la sagesse.

J’ai cloué le bec à Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre et…

Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre a accepté de vous donner les meilleurs conseils pour survivre à un changement d’activités, de vie, d’organisation, de statut professionnel, social… et encore plus…je l’ai eu au chantage (soit tu causes, soit je te dénonce pour publicité mensongère, enfin bref, je lui ai foutu la frousse… Faut dire qu’il avait le couteau sous la gorge, j’étais prête à le lui trancher, je ne plaisante pas. D’accord, répondit Humour Noir de  ma rue Marre de chez Marre, je m’aligne, il était aussi blême, que son habit était noir. Euréka, j’avais gagné ! Gagné ? Ne nous endormons pas sur nos lauriers…

Merci de tout cœur pour vos réactions.

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